7 LIVRES GRATUITS DE LA VISIONNAIRE LADAT_BATLEY SUR L'AUDELÀ

Par le témoignage entre autres de la Bible nous savons que l’au-delà se présente en images lumineuses ou sombres. J´ai choisi, ici, une perception extraordinaire inattendue qui nous fait rire. Je la tire du tome 1 « Devenir visionnaire, une traversée de tous les dangers »
Collection gratuite : “Vis-à-vis avec l’au-delà d’Anne LADAT-BATLEY"
 
Site : http://anne-therese.com


Vision d’un Jésus pas très catholique !

Je devais dormir depuis plusieurs heures quand Jésus rentra dans ma chambre. Cette identité que j’attribuais à ce nouveau venu vêtu d’une ample aube blanche m’avait été officiellement et immédiatement annoncée. Ne voyant pas son visage, je contemplais sa progression au sein de la pièce. Sa démarche lente et marquée, sa posture parfaitement droite se tournant d’un côté puis de l’autre, son attitude solennelle voire pompeuse me rappelait une représentation du Roi soleil, Louis XIV parcourant la galerie des glaces de Versailles et se tournant vers tous ses courtisans avec majesté. La situation était si ridicule que je me mis à rire : reconnaissant officiellement que celui qui déambulait devant moi manquait d’humilité et ne pouvait pas être Jésus-Christ. La déconfiture pour Satan fut telle, qu’il disparut en une implosion subite.
Quand je repense à cette visite théâtrale incongrue, je m’amuse toujours de cette débandade que connut le chef des démons. Mais imaginons que je ne l’eusse pas démasqué, alors il m’aurait vraisemblablement adressé des messages que j’aurais transmis à tout le monde, trompant ainsi beaucoup

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Je vous propose maintenant, une vision qui interpelle sur le contact avec les anges . Je la tire du tome 2 « Le regard bleuté flamboyant de l’ange m’enveloppa »
Collection gratuite : “Vis-à-vis avec l’au-delà d’Anne LADAT-BATLEY "

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Ainsi après avoir réalisé que la nuit mon regard portait souvent sur l’au-delà, je m’efforçai de rassembler les souvenirs nocturnes de toute une vie afin de les analyser. Je fus surprise de remarquer les incursions verbales inopinées d’un personnage mystérieux situé hors de mon champ central de vue. Son intervention au sein même de mes visions ressemblait à une prise de parole : en peu de mots, elle m’éclairait sur le spectacle qui s’offrait à moi. Souvent, elle provoquait chez moi la perception extrêmement brève et imprécise d’un individu dans mon dos. Je crois ne m’être jamais retournée pour le voir. Voici l’image qu’il me donnait de lui à cette époque.

Vision d’un compagnon mystérieux

Subitement et sans me retourner, je percevais une personne se tenant assise sur le rebord de mon lit, juste derrière moi. Elle était vêtue d’une longue tunique blanche un peu lâche qui l’enveloppait jusqu’au bout de ses pieds invisibles. L’imprécision de ma perception était telle que je ne saurais décrire les parties corporelles émergeantes du tissu : sa face, ses cheveux et ses mains. Je m’explique le flou de cette manifestation spirituelle par sa fugacité : elle ne dura qu’une seule seconde. Mais avec le recul, je pense que cette imprécision venait du fait que mon âme était alors très engagée dans l’observation d’une scène fascinante qui se déroulait devant moi ; mais aussi que cet être dans mon dos agissait avec discrétion par respect vis-à-vis de ma personne, de ma liberté de l’écouter ou de ne pas l’entendre.
Cette créature était installée dans une position surélevée à la mienne, lui offrant l’opportunité d’observer dans ma chambre aussi bien les visites nocturnes que mes réactions. Un protecteur n’aurait pas trouvé meilleur endroit pour, tout en respectant la liberté de sa protégée, surveiller ses agissements et ceux des êtres qui l’approchaient et rappeler en silence, sa présence à certains d’entre eux.
Ainsi, alors que j’abordais les rivages d’un monde inconnu et que je découvrais, abasourdie, l’état spirituel de certains de ses habitants, un guide discret me rendait compréhensible les scènes fantastiques que je voyais. Je constatais qu’il n’intervenait par ses explications que lorsque que la vision était trop obscure à mon entendement : ses commentaires étaient un peu lapidaires, souvent très courts et correspondaient à des réponses aux questions que je me posais. Je ne les entendais pas avec mes oreilles physiques : elles s’affichaient dans mon esprit. Au réveil, je me rappelais de tout ce qui m’avait été donné de percevoir et j’en comprenais l’essentiel.


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Voici maintenant une perception extraordinaire de la sollicitude de notre Dieu pour l'homme . Elle est présente dans le tome 3 « De nos jours du terrorisme satanique et humain, de l’accompagnement divin » de la collection gratuite : “Vis-à-vis avec l’au-delà d’Anne LADAT-BATLEY "  

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Je me souviens d’une autre ingérence divine par laquelle la paix reprit ses droits : elle eut lieu à la suite de mon opération contre un cancer, alors que j’étais en convalescence à mon domicile et que je retrouvais le rythme de la maisonnée et ses obligations. Ce retour chez moi tant souhaité se révéla en fait trop précoce : assumer les tâches domestiques m’apparut bien vite très lourd ; mon état psychique lié à l’équilibre biologique bouleversé de mon corps par les interventions chirurgicales et les traitements, était mauvais. La privation de certaines hormones, nécessaire et imposée par les médecins pour bloquer une éventuelle progression de la maladie, avait pour effet second, de déstabiliser mon âme les premiers mois.
Aussi si je me réjouissais d’avoir rejoint mon foyer, nerveusement j’étais complètement à bout. Et les obligations domestiques que j’avais délaissées le temps de l’hospitalisation et que je retrouvais, se révélèrent, bien trop lourdes. L’une de ces activités était de surveiller les devoirs scolaires des enfants. M’attelant donc à nouveau à cette tâche ordinaire, rapidement elle me devint insupportable ; et j’exprimais mon mauvais état nerveux par de l’impatience et de l’exaspération, manifestant par là-même, mon incapacité à accompagner scolairement mes enfants. J’aurais dû alors arrêter mon engagement pour ce type d’activité ; mais ignorant ma fatigue mentale et mon instabilité nerveuse, je le poursuivis bien déterminée à retrouver mon rythme d’antan au sein de la famille. Or arriva le jour où je fus incapable de soutenir correctement un de mes jeunes dans sa compréhension d’un devoir ; et après m’être irritée sur un simple blocage qu’il faisait d’une règle grammaticale, consciente de mes paroles dures, je suis partie me coucher dans tous mes états : engoncée dans un mal être physique et psychique puissant, un désespoir sans précédent s’installa.
Etendue sur mon lit alors que je sombrais lentement dans la somnolence, j’eus une dernière prière pour Dieu : « Seigneur ! Regarde ce que je fais ! Je décourage cet être que tu m’as confié et qui m’est l’un des plus cher après toi. Alors que je veux le soutenir, je lui fais perdre confiance en lui ! Depuis tant de temps, je t’appelle au secours, je te supplie de nous sauver (un parent malade, c’est aussi toute une famille en incertitude et souffrance) et tu ne réponds pas ! Ah, Seigneur, tu as raison de ne pas me secourir, je suis si indigne de toi ! Ne viens pas car je ne te mérite pas. Surtout ne te déplace pas ! Toi, la splendeur ; Toi, mon Dieu ! »

Vision du don de la Paix

Puis je me suis abîmée dans un sommeil sans rêve, sans attente, vide, atone. Mon mari m’a rejointe et s’est étendu à mes côtés. La nuit était avancée et il ne dormait toujours pas quand je me suis exprimée tout haut. J’ai déclaré : « Il m’a consolée ! » Mon compagnon m’interrogea : « Qui ? » J’entendis sa question mais elle ne me réveilla pas. J’observais avec ce que je supposais être mon âme une scène qui se déroulait à ma gauche. Quelqu’un venu de nulle part s’était approché du lit. Cette personne s’est agenouillée, un pied par terre au niveau de ma tête ensommeillée sur l’oreiller. Je ne voyais pas son visage mais je percevais sa silhouette de manière assez imprécise. L’identité de ce personnage ne m’a pas été révélée ; mais sans me parler, ni me toucher, il m’a plongée dans la Paix. Cette Paix biblique qui nous est promise de tout temps, à toute l’humanité. J’étais complètement régénérée. Je ne souffrais plus, j’étais apaisée, consolée par sa simple présence. Quel bonheur incommensurable ! Comment est-ce possible ?  
Je l’ai exprimé dans le tome précédent (3) le face-à-face des humains devient dans l’au-delà, un vis-à-vis d’âmes (possédant parfois des corps matériels sublimés) ; et les sentiments peuvent émerger des êtres spirituels. Ainsi l’amour peut être offert, la paix, donnée sans un geste ou une parole ! Dans le cadre de cette vision, la paix prodiguée est universelle, elle apaise tout mal. Quel esprit dispose d’une telle capacité à apaiser ?


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Dans le tome 4 « C’EST MOI ! VOTRE DIEU ! » Je me penche entre autre sur la vue divine

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La vue divine


Quant au regard de la personne divine dont nous parle St Jean, il surpasse en puissance et splendeur celui de l’ange et celui du curé d’Ars. Il s’expose en une seule flamme ardente que l’on comprend comme issue de la même source que celle de la vue angélique et celle du saint curé, c’est-à-dire provenant du pur amour. L’homme étant créé à l’image et à la ressemblance de son Créateur, une comparaison entre son regard de personne humaine et celui de la personne divine est totalement justifiée même si cette approche restera malheureusement superficielle : nous ignorons en effet pour ainsi dire tout de la nature divine sauf qu’elle est amour et qu’elle possède des pouvoirs surpuissants inimaginables.
La puissance du regard du Créateur dépasse celle de ses créatures : il enveloppe toute la création. Dieu répand sur le monde son Amour puissant, pénétrant et évaluateur en un jet unique de feu transperçant toutes réalités, celles matérielles et spirituelles. Il est dit de lui dans les Hébreux (Bible) : « (Dieu) passe au crible les mouvements (les actions) et les pensées du cœur. Il n’est pas de créature qui échappe à sa vue ; tout est nu à ses yeux, tout est subjugué (soumis) par son regard. Et c’est (à lui) que nous devons rendre des comptes. » (2)
Toute obscurité comme toute lumière, toute vérité lui est connue. Rien ne lui est caché. Il nous est impossible d’imaginer la puissance de cette vue divine qui perçoit tout événement en ce monde (que ce dernier soit public ou privé, caché ou annoncé, lu ou écrit) et qui sait toute pensée du cœur qui en résulte). Elle est infinie. Et Dieu promet à l’être humain de posséder une même vue : « Rien n’est voilé qui ne sera dévoilé, rien n’est secret qui ne sera connu»


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Concernant le tome 5  « Des alliances divines pour grandir » (Collection gratuite )
   
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J'ai tiré d'une de mes visions, une réflexion sur le Royaume des Cieux qui est en fait, le Royaume des enfants

Le Royaume des enfants

Jésus annonce : « En vérité, je vous le déclare, si vous ne changez et ne devenez comme les enfants, non, vous n'entrerez pas dans le Royaume des cieux. Celui-là donc qui se fera petit comme cet enfant, voilà le plus grand dans le Royaume des cieux ». (25)
Le mot est lâché : l’esprit d’enfance. Ami lecteur, tu retrouveras son expression dans « Le songe de la brebis perdue, retrouvée ! » (25a). Il s’est révélé dans l’apparence physique d’un sage se présentant en enfant. En fait dans le paradis nous rajeunissons proportionnellement à notre capacité d’être pur et bon comme l’enfant. Il y a des peintures concernant des visionnaires accompagnés de Jésus enfant. Ces représentations sont souvent celles d’une vision ou d’un songe inspiré, d’un échange qu’ils ont eu avec le Christ manifestant son esprit d’enfance. D’ailleurs dans le Royaume nous auront la surprise d’être accueillis par des sages qui se présenteront en enfants



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Ce tome 6 réfère au « Projet de Dieu de sauvetage de l’humanité » et en particulier à sa venue divine en trois personnes.
 
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Un Dieu qui s'approche !

Pour les chrétiens, la venue divine faite à Abraham devant sa tente est celle des trois personnes divines : Père, Fils et Esprit.
Cette survenue du Très Haut en notre monde, ne doit point étonner ; elle donne le ton pour les temps futurs : Dieu nous retrouve dans nos vies ; ses trois Faces divines interviennent dans nos existences. Aussi si le Très Haut s’adresse à l’homme dans un vis-à-vis, il lui parle aussi indirectement par des perceptions extraordinaires : en effet par les visions, il annonça à Abraham, sa descendance (3) ; et par des songes dont celui d’Abimélec, le Créateur enjoignit à ce roi, de redonner à Abraham, sa femme Sara (4).  Pour finir l’Éternel bénit son envoyé par des dons (5)r]


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Le tome 7 fait référence à « Mon mandat divin et sa réalisation » et en particulier à la venue divine en trois personnes.

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Je décris ici l'expérience avec le Saint esprit que saint Jean a vécu ainsi que celle que j'ai connue. Lui et moi sommes deux disciples du Seigneur, mais St Jean, l’apôtre préféré de Jésus-Christ est plus digne et proche du Créateur. Ainsi la révélation que j'ai eue est moindre que celle que Jean le bien aimé du Seigneur

La vue de l’âme saisie par l’Esprit

En dernier lieu, je souhaite décrire certaines caractéristiques du niveau le plus haut de perception : la vue de l’âme saisie par l’Esprit de Dieu. Dans cette rencontre, la Vérité s’engage totalement : le Très Haut offre à l’âme de pénétrer dans la Vie, le Royaume des Cieux et d’accéder aux plus grands mystères. Il l’accompagne dans la découverte de la vérité au point de la marquer profondément et de manière parfaite. La vraie lumière illumine tout aspect de la découverte, marquant l’âme puissamment. Un face-à-face avec le Créateur peut avoir lieu. Il ne s’agit pas alors de songe, ni de vision mais du Tout Puissant face à sa créature.
L’Esprit saisit l’âme lorsque le visionnaire possède aux yeux du Très Haut, une très grande dignité : son regard pénètre directement certains secrets cosmiques. Saint Jean fait partie des très grands, des saints, et sa vue parfaitement pure porta lors de sa vision précédemment décrite de l’homme-Dieu (22) sur le pouvoir royal, les mystères du Royaume des Cieux et le futur de certaines églises. D’ailleurs son âme a été déposée dans la demeure même de Dieu au sein du Royaume : Saint Jean décrit un lieu sanctifié par sept chandeliers.
Si je compare sa perception du Royaume à la mienne, je dirais que l’Esprit lui a montré la pleine vérité alors que je n’ai perçu qu’un symbole du Royaume que j’ai décrit précédemment dans le tome 4 (23). Mon appréhension du monde de Dieu est établie à un niveau beaucoup plus bas, un songe inspiré. La vérité parfaite ne m’a pas été révélée.